A travers ce second numéro nous mettons un accent sur l’empreinte négative que l’être humain laisse derrière lui concerne le réchauffement climatique car il ne s’agit pas seulement de vivre l’instant présent à ses dépens, il est aussi question de penser à ceux qui viennent après nous.
Cela nous plonge dans des réflexions profondes qui nous poussent à considérer l’homme, l’être humain comme le principal prédateur de sa race car il n’en prend pas soin comme il se devait.
Le monde actuel se voit entre autres comme un gigantesque pays sans frontières vu les nombreux accords internationaux auxquelles quasiment toutes les nations participent pour stopper certains fléaux comme les guerres, la déforestation, le réchauffement climatique ou encore la lutte pour l’intégration égale à égale entre les hommes et les femmes qui longtemps ont « été marginalisée ».
L’aboutissement heureux de tous les éléments évoqués ci-haut ne serait que le fruit d’une conscience mondiale en tenant compte de tous, des plus fort, des forts, des faibles et des plus faible pour un équilibre.
Par faible, on parle aussi de la femme. Femmes Noire, Femmes Africaines, Femmes du Monde entier.
Longtemps privées de ses droits fondamentaux par la société qui jadis voulait et comprenait que seul le sexe masculin pouvait et était en mesure de conduire le monde.
Aujourd’hui, aux quatre coins du monde, sans l’Empreinte Féminine, sans la touche du sexe supposé être faible, tous les violons ne s’accordent pas.
A l’humanité de s’en rendre compte et d’en prendre conscience.
Daël TUMBWE
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La vraie empreinte marque le changement dans la vie, tout comme dans la société